Les organismes de gestion des destinations touristiques (Ministères, CRT, OT, etc.) font face à de nombreux défis lorsqu’ils travaillent avec de grandes quantités de données afin de prendre des décisions éclairées et efficaces. Dans cet article, justement, nous présenterons dix principaux défis auxquels ces entités sont généralement confrontées et nous expliquerons pourquoi un partenariat avec des experts en Intelligence Touristique peut aider à surmonter les différents obstacles et transformer une destination en “Destination Intelligente”.
Cette analyse se base sur l’expérience de Mabrian au cours des 8 dernières années avec des clients au sein de 40 pays.
Pourquoi est-il difficile d’intégrer l’utilisation de la data au sein d’une destination touristique ?
Les dix raisons principales
- Sources de données : Trouver des sources de données fiables et représentatives peut être complexe, chronophage et coûteux.
- Limites des données : comprendre les limites de chaque ensemble de données est essentiel, car aucune source ou ensemble de données n’est parfait. Par ailleurs, toute la data ne peut être traduite en indicateurs fiables.
- Interprétation : transformer les données en informations exploitables nécessite non seulement une expertise en analyse de données, mais aussi une compréhension approfondie de l’industrie du tourisme.
- Attentes : Bien que les données puissent fournir des informations précieuses, il est important de se rappeler qu’elles ne sont pas une boule de cristal et ne peuvent prédire les tendances futures avec une précision absolue.
- Ressources humaines : les entités touristiques disposent souvent de peu de personnel afin d’interpréter et gérer la data. Les ressources en temps et en moyens humains sont limitées.
- Plateformes et tableaux de bord internes : investir à chaque fois dans la création d’une nouvelle plateforme ou d’un tableau de bord pour présenter les informations peut être chronophage, coûteux et inefficace.
- Budget : allouer des fonds pour les projets concernant les données peut être un défi en raison des priorités traditionnelles : forums, brochures, campagnes, etc. Il ne s’agit pas d’une augmentation du budget, mais d’un changement d’état d’esprit en termes de priorités.
- Prise de décision : l’efficacité des informations basées sur les données dépend de la confiance et de l’utilisation des décideurs dans les informations fournies.
- Résultats : mesurer l’impact direct de l’utilisation améliorée des données sur la performance de la destination peut être difficile à court terme et nécessite patience et constance.
- Open Data : Le partage des connaissances avec les parties prenantes est un objectif essentiel pour les destinations touristiques, mais cela peut être compliqué en raison des préoccupations liées à la confidentialité des données, aux restrictions des fournisseurs, etc.
Le rôle des experts en data intelligence
Afin de surmonter ces défis, les destinations peuvent bénéficier d’un partenariat avec des experts en data intelligence, tels que Mabrian :
- Une solution ciblée pour les destinations et leurs besoins spécifiques.
- Une approche holistique qui inclut plusieurs dimensions d’informations : données aériennes, données de dépenses, données sur le comportement des voyageurs, données sur l’hébergement, données sur la mobilité et la durabilité.
- Flexibilité pour s’adapter aux exigences spécifiques de chaque destination. Approche modulaire.
- Fiabilité, avec une large base de clients dans de nombreux pays.
- Agilité. Mise en place rapide d’une plateforme, sous 6 semaines.
- Solutions rentables qui aident à optimiser l’allocation du budget.
Surmonter les défis que posent l’intégration du big data au sein d’une entité touristique n’est pas une tâche facile, mais avec l’aide d’experts en data intelligence des décisions plus efficaces et précises peuvent être arrêtées.
En adoptant un changement de mentalité et en tirant parti d’un soutien d’experts, les destinations touristiques peuvent exploiter pleinement le pouvoir des données afin d’améliorer leurs performances et favoriser une collaboration avec le secteur privé.
